Anonyme / Loïe Fuller dansant


O vous, chères élancées fragiles tournoyantes dont le pliable corps veut les enlacements de l'homme adoré, vous, futiles froufroutantes Viennoises, sentimentales [...] O vous, si jolis futurs cadavres, ô vous tournoyantes dont les éclatantes dents tendues vers le cavalier bien aimé sont l'annonce et le commencement du définitif squelette rigoleur camus...
Albert Cohen in Carnets 1978.